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Canada-Canada Si vous arrivez du Canada et que vous devez prendre un vol de correspondance vers une autre destination canadienne, vous n’avez normalement pas à sortir de la zone réglementée ni à vous soucier de vos bagages de soute vérifiez auprès de votre compagnie aérienne. Consultez l’un des écrans d’affichage des vols pour connaître le numéro de votre porte d’embarquement. Si, pour une raison quelconque, vous désirez sortir de la zone réglementée, n’oubliez pas d’avoir en votre possession votre carte d’embarquement et de vous présenter suffisamment à l’avance au point de contrôle de sécurité A pour votre départ. Canada-États-Unis Si vous arrivez du Canada muni d’une carte d’accès à bord pour un vol de correspondance vers une destination aux États-Unis, vous devez suivre les panneaux "Correspondances vers États-Unis". Vous devez ensuite franchir le contrôle pré-embarquement C puis les douanes américaines. Vos bagages enregistrés seront acheminés automatiquement par le système de manutention des bagages. Toutefois, les douaniers américains auront la possibilité de rappeler vos bagages, au besoin, pour une inspection manuelle. Si les douaniers n’ont pas encore en main les informations sur vos bagages, vous serez invité à passer dans le salon d’attente. Canada-International Si vous arrivez du Canada et que vous devez prendre un vol de correspondance vers une destination à l’International, et si vous avez déjà en main votre carte d'accès à bord, vous n’avez pas à sortir de la zone réglementée ni à vous soucier de vos bagages de soute. Consultez l’un des écrans d’affichage des départs pour connaître le numéro de votre porte d’embarquement et gardez votre carte d’embarquement en main pour passer le contrôle d’entrée en zone internationale. Une fois entré dans la zone internationale, vous ne pouvez plus retourner en zone mixte. Si, pour une raison quelconque, vous désirez sortir de la zone réglementée, n’oubliez pas d’avoir en votre possession votre carte d’accès à bord ainsi que votre passeport et de vous présenter suffisamment à l’avance au point de contrôle de sécurité pour votre départ. Si vous n'avez pas votre carte d'accès à bord, vous devez en obtenir une au comptoir d'enregistrement de votre compagnie aérienne. États-Unis-Canada Après avoir complété le contrôle frontalier - inspection primaire, vous serez dirigé selon deux parcours possibles Si votre compagnie aérienne vous offre le transfert automatique de vos bagages, vous serez dirigé directement vers la zone des départs domestiques. Si votre compagnie aérienne ne vous offre pas le transfert automatique de vos bagages, vous devez les récupérer au carrousel puis suivre le parcours habituel pour les arrivées internationales, puis le parcours habituel pour les départs domestiques. États-Unis-International Après avoir numérisé votre passeport à la borne, vous serez dirigé selon deux parcours possibles Si votre compagnie aérienne vous offre le transfert automatique de vos bagages, vous serez dirigé directement vers la zone des départs internationaux. Si votre compagnie aérienne ne vous offre pas le transfert automatique de vos bagages, vous devez les récupérer au carrousel puis suivre le parcours habituel pour les arrivées internationales, puis le parcours habituel pour les départs internationaux. Passagers en transit Attention ! Vérifiez si vous avez besoin d’un visa de transit. Les citoyens de certains pays et territoires ont besoin d’un visa pour entrer au Canada. Si c’est votre cas, vous aurez besoin d’un visa de transit pour passer par le Canada sans y séjourner. Cette exigence s’applique même si vous vous arrêtez au Canada pendant moins de 48 heures. Il est possible que vous n’ayez pas besoin d’un visa de transit. Pour en savoir plus sur les conditions d'admissibilité pour les voyageurs, les compagnies aériennes et les autorités aéroportuaires, visitez la page Transiter par le Canada sans visa sur le site Web de CIC. International-Canada Après avoir complété le contrôle frontalier - inspection primaire, vous serez dirigé selon deux parcours possibles Si votre compagnie aérienne vous offre le transfert automatique de vos bagages, vous serez dirigé vers la zone des départs domestiques. Si vous n'arrivez pas de l'Union Européenne, vous serez dirigé au préalable au point de contrôle de sécurité dédié aux correspondances Si votre compagnie aérienne ne vous offre pas le transfert automatique de vos bagages, vous devez les récupérer au carrousel puis suivre le parcours habituel pour les arrivées internationales, puis le parcours habituel pour les départs domestiques. International-États-Unis Si vous arrivez de l’International et que vous devez prendre un vol à destination des États-Unis, suivez la signalisation "Correspondances vers États-Unis". Il y a deux parcours possibles Si votre compagnie aérienne vous offre le transfert automatique de vos bagages et que vous détenez déjà une carte d’accès à bord pour votre vol de correspondance, vous serez invité à passer par un couloir de transit et vous éviterez ainsi les douanes canadiennes. Vous devrez cependant franchir les douanes américaines. Vos bagages enregistrés seront acheminés automatiquement par le système de manutention des bagages. Toutefois, les douaniers américains auront la possibilité de rappeler vos bagages, au besoin, pour une inspection manuelle. Si les douaniers n’ont pas encore en main les informations sur vos bagages, vous serez invité à passer dans le salon d’attente. Si votre compagnie aérienne ne vous offre pas le transfert automatique de vos bagages, vous devez les récupérer au carrousel puis suivre le parcours habituel pour les arrivées internationales, puis le parcours habituel pour les départs États-Unis. Passagers en transit Attention ! Vérifiez si vous avez besoin d’un visa de transit. Les citoyens de certains pays et territoires ont besoin d’un visa pour entrer au Canada. Si c’est votre cas, vous aurez besoin d’un visa de transit pour passer par le Canada sans y séjourner. Cette exigence s’applique même si vous vous arrêtez au Canada pendant moins de 48 heures. Il est possible que vous n’ayez pas besoin d’un visa de transit. Pour en savoir plus sur les conditions d'admissibilité pour les voyageurs, les compagnies aériennes et les autorités aéroportuaires, visitez la page Transiter par le Canada sans visa sur le site Web de CIC. International-International Lors de votre arrivée à YUL, vous transiterez par le centre de correspondances. Cette installation est dédiée aux voyageurs qui transitent par Montréal vers d’autres destinations. Après avoir complété le processus, vous serez dirigé selon deux parcours possibles Si votre compagnie aérienne vous offre le transfert automatique de vos bagages et que votre vol de départ est la même journée que votre vol d’arrivée, vous serez dirigé vers la zone des départs internationaux. Noter que si vous n'arrivez pas de l'Union européenne ou des États-Unis, vous serez dirigé au préalable au point de contrôle de sécurité dédié aux correspondances. Vous n’avez pas à télécharger et fournir votre déclaration dans ArriveCan. Si votre compagnie aérienne ne vous offre pas le transfert automatique de vos bagages ou que votre vol de départ n’est pas la même journée que votre vol d’arrivée, vous devrez avoir téléchargé et fournir toutes les informations requises au moyen d’ArriveCan et passer le contrôle frontalier. Ensuite, vous devrez récupérer vos bagages au carrousel et suivre le parcours habituel pour les arrivées internationales, puis vous diriger vers le parcours habituel pour les départs internationaux.
Entant que voyageur, vous n’avez pas besoin de faire une demande pour le Programme de transit sans visa (TSV), mais vous devez remplir toutes les conditions ci-dessous. Remarque : Votre transporteur aérien doit confirmer que vous êtes admissible au programme avant votre embarquement à bord de votre vol à destination du Canada.
Mardi 18 mai Décollage à 19 heures de l'aéroport de Roissy. Arrivée à 22h15 à Istanbul, soit en heure locale 23 h15. Transfert à l'hôtel Martinenz au centre d'Istanbul ! Mercredi 19 Après une chaude nuit à l'hôtel Martinenz la clim n'est pas très performante, nous "petit-déjeunons" au 7ème étage, dans le restaurant qui donne sur les toits de la ville et au loin sur la mer de Marmara. La matinée se passe dans le Grand Bazar, caverne d’Ali Baba du tourisme, objets divers à profusion, couleurs, lumières, foule. C'est sympathique, mais ce n'est sans doute pas le lieu rêvé pour réaliser des affaires. Les touristes y sont attendus, reconnus et sans doute quelque peu abusés. Après déjeuner, nous prenons le tramway pour atteindre le port d'Eminonu sur le Bosphore où nous embarquons sur un bateau qui longe la Corne d'Or. Le soleil chauffe le pont où nous nous sommes installés en plein air pour profiter au mieux du paysage. Les stations défilent Eminonu, Kasimpasa, Fener, Haskoy, Ayvansaray, Sutluce, Eyup. Après une halte à Eyup, tout au bout de la Corne d'Or, nous prenons le bateau suivant qui nous dépose à Fener où nous flânons dans les ruelles sombres au dessus desquelles des cordées de linge sèchent. Dans la rue un vendeur de tapis en voiture, propose sa marchandise aux gens qui mettent le nez à la fenêtre. Bientôt, nous naviguons de nouveau sur la Corne d'Or, dépassant Eminonu, pour atteindre Uskudar, sur la rive asiatique où le bateau fait demi-tour et nous ramène à notre point de départ. Le retour dans le tramway bondé est assez épique. On ne peut pas déplacer un pied; on est debout, mais bien calé. Dîner sympathique au 7ème étage et au lit à 22 heures pour avoir le temps de bouquiner un moment ! Jeudi 20 Longue journée de marche et de visite ! Tout d'abord, nous nous rendons sur l'Acropole, le point le mieux défendu de la ville, au palais des sultans "Topkapi" avec son harem aux nombreuses salles tapissées de mosaïques, ses terrasses donnant sur la Corne d'Or et ses jardins de roses. Il est déjà 13 heures quand nous déjeunons à une terrasse de restaurant, installée sur le trottoir près de l'Hippodrome, sorte de "place rouge" turque, bordée par Sainte Sophie d'une part et la Mosquée Bleue d'autre part. Nos pas nous portent ensuite vers la basilique Sainte Sophie, immense mais pas en très bon état. Les plafonds sont abîmés et tout un coin est en cours de restauration derrière les échafaudages. La mosquée bleue où nous entrons juste après, est de toute beauté, impressionnante par sa hauteur, ses murs entièrement décorés de carreaux de faïence, ses lustres imposants, son vaste tapis rouge. Au dessus de la mosquée, se dressent six minarets élancés. Toute proche, se tient la basilique-citerne Yerebatan Sarnici, qu'on découvre en descendant sous terre. Les pieds des piliers baignent dans l'eau, l'ombre règne sur les lieux, une sorte de sifflement mélodieux, en musique de fond, ajoute à l'ambiance une note d'étrangeté. Après une pause à une terrasse de café, nous regagnons l'hôtel pour un dîner composé de mets turcs bien sympathiques. A la suite de quoi, nous bouquinons dans la chambre, fenêtre ouverte sur la rue animée de klaxons, bruits de circulation, et par dessus tout, le chant du Muezzin de la mosquée d'en face qui vers 22 heures, appelle à la prière et recommence à l'aube juste au moment où la nuit fraîche nous offre le meilleur sommeil. Pendant la journée, nous échappons à sa litanie, mais nombre d'autres résonnent à travers toute la ville. Vendredi 21 Nous avons la chance pour cette journée prévue sur le Bosphore que le ciel soit plus bleu que les jours précédents. Nous nous rendons en tramway, au port d'Eminonu, pour acheter les billets de la croisière. Ce n'est pas évident de se repérer parmi les multiples guichets qui offrent, soit une promenade courte de deux heures sans escale dans le golfe, soient des passages jusqu'à un port ou un autre, soient de plus longues traversées. Nous avons envie d'aller le plus loin possible dans le golfe et idéalement de faire une escale ou deux, comme c'est expliqué dans le guide bleu. Un unique bateau offre ce choix, mais avec une seule escale. Trop tard ! Il quitte le port sous nos yeux ! Le prochain est à 13h30, il va jusqu'à la mer noire en une heure et demie, en proposant des arrêts de quelques minutes à Galata Tower, Dolmabahce Palace, Ortakoy Mosque, Bosphorus Bridge, Beylerbeyi Palace, Göksu Pavillon, Rumeli Kavagi et aux portes de la mer, il offre une halte de deux heures à Anadolu Kavagi. Le bateau du retour qui emprunte le même trajet nous ramènera pour 18h30. Cela fera un bel après-midi sur l'eau ! En attendant, nous baguenaudons dans le marché aux épices et déjeunons au bord de l'eau dans un des restaurants installés sous le pont de Galata. La croisière est fort agréable, le paysage superbe défile de part et d'autre du bateau. A Anadolu, au bout du Bosphore, il y a peu de choses à voir, quelques restaurants s'entassent au débarcadère, mais ce n'est plus l'heure du déjeuner. Nous prenons un café en terrasse, dont le prix doit être à la tête du touriste ! Deux centimètres de café dans une minuscule tasse pour 5 livres 2,5 euros !!! Rentrés à Istanbul, nous dînons à l'hôtel et lisons un grand moment dans la chambre où il fait toujours aussi chaud. Voir les photos d'Istanbul Samedi 22 Finie la marche à pied et les tramways bondés ! Ce matin, nous entrons en possession d'une Hyundai toute neuve, et prenons la direction d'Ankara sous un ciel plombé qui crachine. Nous avons de la chance que cette pluie intervienne aujourd'hui alors que nous allons passer une grande partie de la journée à rouler, donc à l'abri ! Nous franchissons l'immense pont qui relie l'Europe à l'Asie. Nous voilà donc sur le continent asiatique… Autoroute jusqu'à Ankara que nous atteignons vers 15h15 ! Ensuite, il va nous falloir repérer l'hôtel à l'aide d'un vague plan Google tiré sur Internet avant de partir et d'un extrait de carte Europcar où ne figure pas un seul nom de rues. Découvrir la rue de l'hôtel, par recoupage entre les deux plans nous prend déjà 45 minutes ! Nous sommes arrêtés sur un parking d'autoroute à l'entrée d'Ankara. En effet Pacha Tours ne nous a donné aucune indication pour trouver les hôtels, juste les adresses. Quand nous partons "en solo" avec Kuoni ou Jet Set, nous avons à chaque fois des "road Book" très détaillés, pour localiser les hôtels, mais aussi pour nous donner des idées d'excursions ou visites. Mais là rien ! Périphérique d'Ankara, direction opposée à l'aéroport, boulevard Ataturk sur des kilomètres, circulation dense et embouteillages, taxis et bus dans tous les sens, pluie et grisaille, demi-tour, on a perdu le boulevard Ataturk, hasard on le retrouve à l'envers, nouveau demi-tour, où est-il ce boulevard ? Quatre ou cinq demi-tours plus loin, avec retour à la case "Kizilay" à chaque fois, nous finissons par trouver la rue Cinnah où est censé se tenir l'hôtel ! Mais ce n'est pas encore fini, car il n'est pas dans la rue-même mais dans une ruelle perpendiculaire à celle-ci. Et quand on pose une question en anglais aux passants, ils répondent fort gentiment mais en turc ! De chauffeurs de taxi en piétons bienveillants, nous finissons par dénicher l'hôtel à 18h30. Après 3h15 de recherche !!! Il n'y a pas grand chose à voir dans la capitale, un ami nous avait indiqué le musée des civilisations anatoliennes, mais il est trop tard. Nous avions aussi projeté de nous balader dans le quartier populaire autour du musée, mais pas question de reprendre la voiture maintenant ! Je crois que nous ne retrouverions pas l'hôtel dans l'imbroglio de routes que nous avons parcourues. Nous partirons de bonne heure demain matin pour arriver tôt en Cappadoce et profiter au maximum de nos quelques journées dans cette nature magnifique. Tant pis pour Ankara ! Et pas vraiment de félicitations à Pacha Tours de ne délivrer aucune indication pour atteindre un hôtel aussi bien caché dans une capitale grouillante de circulation et avec des sens uniques un peu partout. ETAPE 488 km Dimanche 23 Il fait toujours aussi gris quand nous quittons Ankara à 8 heures. Une heure après, nous y sommes encore, car nous avons pris le périphérique en direction du nord, ce qui nous a obligé à tourner autour des trois-quarts de la ville, pour trouver la sortie au sud-est, située pas bien loin de là nous avons embouqué le périphérique tout à l'heure. Nous voilà enfin sur la route de la Cappadoce. Au sortir d'Ankara, nous traversons des villes à l'habitat très dense, collines entièrement couvertes de maisons, immeubles de plusieurs étages aux couleurs vives et puis peu à peu, montagnes qui nous entourent comme dans la longue étape d'hier. La route est belle. Notre premier plein de gasoil nous surprend par son prix 3,11 livres turques, soient 1,65 euros alors qu'en France il tourne à moins de 1,10 euros. Pour ce pays, c'est beaucoup, mais ce n'est pas la première fois que nous remarquons le prix exagéré de l'essence dans certains pays au niveau de vie peu élevé. Midi les premières cavernes et cheminées de Cappadoce apparaissent. Nous décidons de commencer la visite par la ville souterraine de Derinkuyu, car le temps est encore couvert et humide et nous espérons une amélioration demain. Derinkuyu d'étroits et obscurs boyaux nous emmènent sous terre. Il faut marcher courbé et descendre de longs escaliers dans lesquels il est à peine possible de se retourner et en aucun cas de croiser quelqu'un. Cuisine, salle de rencontre, chambres, mais tout est vide ! C'est curieux à voir, toutefois pas forcément à répéter. Il y en a une autre à Kaymakli mais nous n'irons pas; je pense qu'elles doivent se ressembler et la promenade, à demi-accroupi, n'est pas très confortable pour le dos et les genoux.
Lufthansa& Dolomiti, de l'Europe à l'Asie; 1h30 d'escale à l'aéroport Atatürk (Istanbul) Options disponibles pour transférer de l'aéroport d'Ataturk à Sultanahmet après minuit! Est-ce que 1 heure 15 minutes pour une escale à l'aéroport international d'Almaty, au Kazakhstan, est suffisante? Pièges juridiques après un atterrissage d
Par Vincent Villemer Publié le 13/11/2017 à 1821 Mis à jour le 13/11/2017 à 1818 Photo Les tentes en guise de terminal pour les voyageurs à l’aéroport de Djuba. Chaque année, le site Sleeping in airports établit son classement des pires aéroports du monde. Un top 10 peu glorieux, dans lequel on retrouve trois terminaux grecs et un aéroport… français. Des aéroports à éviter, enfin si vous le pouvez ! La France représentée… Pourtant fier d’être le troisième aéroport de Paris », Beauvais a eu la mauvaise surprise de voir son terminal faire partie du top 10. Si vous comptez passer par l’aéroport de Beauvais, vous avez intérêt à bien planifier votre séjour ». Voici l’avertissement lancé par Sleeping in airports, un site collaboratif qui consiste à recueillir les avis des voyageurs. Tous les ans, le site rédige le classement des pires aéroports du monde, et cette année, la France peut avoir honte de voir l’un de ses terminaux trouver sa place dans le top 10. En effet, l’aéroport de Beauvais, connu pour être un hub des compagnies low-cost, se classe à la 9ème place du classement. Une enquête basée sur des critères définis Pour réaliser cette étude, le site sonde ses utilisateurs sur plusieurs critères définis tels que les services mis à disposition, le confort, la sécurité, l’amabilité du personnel, l’espace pour dormir en cas de longues escales, et la sécurité. Plus d’une dizaine de milliers de voyageurs ont répondu à l’enquête et les résultats sont ensuite publiés chaque année entre octobre et novembre. Concernant l’aéroport de Beauvais, de nombreuses raisons expliquent sa présence dans le classement. Au-delà de la propreté des lieux et de la qualité du personnel, c’est surtout le côté pratique qui fait défaut. Tout d’abord son positionnement. S’il est normal qu’un hub aérien soit en périphérie de la métropole, sa distance avec Paris est beaucoup trop importante, il faut presque compter une heure et demie pour se rendre en Picardie depuis la capitale. De plus, le terminal ferme ses portes de 23 heures à 06 heures du matin ! Impossible donc d’y dormir en attendant un vol matinal. D’autant que les hôtels environnants ne sont pas assez nombreux et leurs prix beaucoup trop élevés selon les voyageurs. Selon une précédente étude le sondage eDreams paru en 2016, Orly ou Roissy n'étaient pas en reste. Orly était cité comme le 10e des aéroports les moins bien classés en raison de son accès par le RER B, un mauvais souvenir pour un certain nombre de passagers. Idem pour l’aéroport de Roissy-Charles de Gaulle qui arrivait juste après... La capitale française a des efforts à faire en termes d'accessibilité, en vue notamment des Jeux Olympiques, ce qui est prévu avec le projet d’une ligne ferroviaire directe pour Paris, la CDG express. La Grèce et les aéroports, ça fait deux Beauvais pourra toujours se consoler de ne pas être le pire aéroport au monde en consultant le reste du classement. En effet, la Grèce semble avoir beaucoup de mal avec les aéroports puisqu’elle a réussi l’exploit de placer trois de ses terminaux dans le top 10 Héraklion, en Crète, se trouve 4ème, alors que ceux de Santorin et de Rhodes se trouvent respectivement à la 6ème et 8ème place. Ils ont tous les trois le point commun d’être des aéroports insulaires et rassemblent les mêmes plaintes terminaux trop petits, files d’attente interminables, manque de places assises, et c’est toute l’organisation qui est impactée. La grande majorité des vols sont en retard simplement à cause de la lenteur des procédures d’embarquement. Djuba, le pire du pire Mais la palme d’or » du pire aéroport du monde 2017 revient à l’aéroport international de Djuba, la capitale du Soudan du Sud, le plus jeune État du monde. Le choix s’est fait sans équivoque car il est au cœur de problèmes plus graves et inédits par rapport aux autres aéroports du classement. Et pour cause, les travaux du terminal s’éternisent à cause de la corruption et de l’instabilité du pays, ce qui retarde le financement et l’aboutissement du projet. Pourtant, l’aéroport est bel et bien actif ! Alors que les conditions d’accueil sont pitoyables, les voyageurs attendent leur vol sous une tente, sans climatisation, pour le reste, les aspects pratiques, la sécurité et la propreté sont totalement délaissés. TOP 10 des pires aéroports du monde Sleeping in airports 1° Djuba Soudan du Sud 2° Djeddah Arabie Saoudite 3° Port Harcourt Nigéria 4° Héraklion Grèce 5° Lagos Nigéria 6° Santorin Grèce 7° Dar es Salam Tanzanie 8° Rhodes Grèce 9° Beauvais France 10° Tachkent Ouzbékistan Vincent Villemer Journaliste sportif radio/web. Passionné par le ballon rond, la culture urbaine et sa musique.
Unvol sans escale, ça c’est des vacances! Avec tous les vols directs offerts en partance de Montréal, il est possible de s’envoler vers une destination différente chaque semaine de la saison estivale, et ce, un peu partout à

L’itinéraire de vol comprend une longue escale. Ça peut être ennuyeux. Ou ça peut être l’occasion rêvée de passer quelques heures passionnantes à visiter une capitale réputée ou une cité méconnue. On peut en profiter pour faire plusieurs voyages dans le même voyage, pour voir d’autres endroits », suggère Isabelle St-Amand, propriétaire de l’agence Espace Voyages, à Saint-Jean-sur-Richelieu. Souvent, on n’a pas besoin de se préoccuper de ses bagages puisqu’ils sont enregistrés jusqu’à la destination finale. Si ce n’est pas le cas, il est souvent possible de les laisser dans une consigne. Il y a cependant quelques règles à suivre. Il faut notamment s’assurer que l’on a suffisamment de temps pour se rendre en ville. Les aéroports sont rarement situés à proximité des attractions touristiques. Si on a une escale de trois à quatre heures à Paris, c’est vraiment trop court. Il ne faut pas commencer à penser aller voir la tour Eiffel. Isabelle St-Amand, propriétaire de l’agence Espace Voyages Il faut tenir compte du temps de transit vers le centre-ville, mais aussi des délais pour repasser à la sécurité au retour à l’aéroport. Parfois, il faut compter sur une escale d’au moins 10 heures pour être pleinement à l’aise avec l’idée de sortir de l’aéroport pour aller explorer le centre-ville et visiter quelques musées. Si on rate son vol, on peut réussir à se faire mettre sur un autre vol le lendemain, mais c’est risqué, indique Mme St-Amand. On peut se retrouver avec une autre classe tarifaire et devoir débourser un supplément. » Il est toutefois possible de prévoir le coup et de s’organiser dès le départ pour avoir une longue, longue escale 24 heures, 72 heures, plus encore. Parfois, il ne sera pas nécessaire de débourser quoi que ce soit pour avoir cet avantage. Toutefois, il faudra probablement passer par un agent de voyages pour organiser un tel itinéraire. Nous avons la possibilité de voir les restrictions et les conditions, explique Mme St-Amand. Je dois le faire par téléphone directement avec les lignes aériennes, je ne peux même pas le faire avec le système. Je ne vois pas comment quelqu’un en ligne pourrait le faire. » À la limite, un client pourrait organiser un tel itinéraire directement avec son transporteur aérien, mais en cas de pépin, une faillite du transporteur par exemple, il ne pourrait pas bénéficier d’un remboursement en vertu du fonds d’indemnisation des clients d’agence de voyages. Un client pourrait aussi utiliser les moteurs de recherche pour réserver divers segments, mais il risquerait alors de devoir payer un peu plus cher. Nous pouvons parfois faire cela sur un seul billet, ce qui est intéressant », affirme Mme St-Amand. Il faut aussi s’assurer d’avoir les documents nécessaires pour quitter la zone sécurisée d’un aéroport. Un voyageur en transit n’a pas nécessairement besoin d’un visa pour effectuer une correspondance dans un pays, mais ce document pourrait être nécessaire pour sortir de l’aéroport et visiter la métropole locale. Trucs et conseils pour neuf escales de rêve PHOTO LAURA-JULIE PERREAULT, ARCHIVES LA PRESSE La Villa Vizcaya est située au bord de la baie de Biscayne. Miami Les vols en direction de l’Amérique centrale et de l’Amérique du Sud passent souvent par l’aéroport de Miami. Une petite visite à la Villa Vizcaya, un manoir bâti en 1916 et transformé en musée, peut permettre de passer agréablement les heures d’attente entre deux vols. À partir de l’aéroport, il suffit d’emprunter la ligne orange du Metrorail, de descendre à la station Vizcaya et de marcher une quinzaine de minutes. Pour ceux qui préfèrent la plage, on peut prendre le Miami Beach Airport Express pour quelques heures de relaxation. Le tarif pour cet autobus et le Metrorail n’est que de 2,25 $ US l’aller simple. > Consultez le site de la Villa Vizcaya en anglais > Consultez le site du comté de Miami-Dude en anglais Paris PHOTO ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE Le Musée du Louvre, à Paris Une petite promenade dans le jardin du Luxembourg. Une visite nostalgique au cimetière du Père-Lachaise. Un peu de culture au Musée du Louvre. Un p’tit café sur une terrasse. Les idées ne manquent pas pour remplir quelques heures à Paris. Il faut une quarantaine de minutes à bord du RER B pour se rendre de l’aéroport Charles-de-Gaulle au centre de Paris. L’aller simple coûte un peu plus de 10 euros. Il y a une consigne à l’aéroport, au terminal 2, à quelques mètres de la gare du RER qui permet de se délester de ses bagages pour errer à sa guise dans les rues de la capitale française. Istanbul PHOTO YASIN AKGUL, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE Istanbul Istanbul est une ville fabuleuse, à la rencontre de l’Europe et de l’Asie. Les personnes qui voyagent avec Turkish Airlines et qui ont une escale de six heures ou plus ont droit à une visite guidée gratuite de la ville. Ils peuvent notamment voir la forteresse de Yedicule et les murs de Constantinople ou visiter le palais Dolmabahçe. Un visa de tourisme est nécessaire, mais celui-ci peut être obtenu en ligne. Les personnes plus aventureuses peuvent prendre l’autobus à partir de l’aéroport d’Istanbul, puis le métro, pour visiter à leur guise des sites renommés comme le grand bazar, le musée Hagia Sophie et la Mosquée bleue. Le tarif est imbattable, soit moins de 2 $ CAN, mais le trajet peut prendre 45 minutes. Il peut être préférable de se payer un taxi à 25 euros l’aller simple. Doha PHOTO GETTY IMAGES Doha est la principale plaque tournante de Qatar Airways. Doha est la principale plaque tournante de Qatar Airways. Il peut être intéressant de profiter d’une longue correspondance pour visiter la capitale du Qatar, située sur le bord du golfe Persique. Qatar Airways a mis en place un programme d’escale prolongée pour 2020. Les voyageurs qui transitent par Doha peuvent demeurer une nuit dans un hôtel quatre étoiles pour 23 $ US. Ils peuvent demeurer jusqu’à trois nuits supplémentaires, mais le tarif est alors un peu plus élevé 165 $ US pour quatre nuits, ce qui n’est quand même pas excessif. Les voyageurs ont alors la possibilité de visiter à leur aise le souk Waqif et le Musée d’art islamique, ou encore de se payer une petite excursion dans le désert. Les voyageurs avec un peu moins de temps mais avec une correspondance d’au moins cinq heures peuvent se joindre à une visite guidée qui leur coûtera environ 27 $ CAN. > Consultez le site de Qatar Airways Londres PHOTO ANDREW TESTA, ARCHIVES THE NEW YORK TIMES Le palais de Westminster, à Londres Pour se rendre au centre de Londres à partir de l’aéroport d’Heathrow, il suffit de prendre le métro la ligne Piccadilly et de cheminer pendant environ 45 minutes. Il existe un train express beaucoup plus rapide, avec un trajet de 15 minutes, mais beaucoup plus cher 25 livres l’aller simple au lieu de 6 livres pour le métro. On peut profiter d’une escale pour se payer une visite guidée organisée par London Walks. Ces visites, en anglais, portent sur une variété de sujets, depuis Jack l’Éventreur jusqu’au Londres d’Harry Potter. Pas besoin de réserver, il suffit de se rendre au point de rendez-vous et de verser 10 livres au guide. Et bien sûr, avec de grands musées comme le British Museum et le Victoria and Albert Museum, des lieux incontournables comme la tour de Londres, Big Ben et le palais de Westminster, il y a de quoi s’occuper. > Consultez le site de London Walks en anglais Amsterdam PHOTO KOEN VAN WEEL, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE Une femme admire l’un des sept tableaux de Vincent van Gogh intitulés Les tournesols, au musée portant le nom du célèbre peintre et dessinateur néerlandais, à Amsterdam. Amsterdam est une ville charmante à découvrir à pied, avec ses canaux et ses maisons étroites. Elle compte également des musées remarquables, comme le musée van Gogh et le Rijskmuseum, qui abrite notamment des chefs-d’œuvre de Rembrandt et de Vermeer. La maison d’Anne Frank est également un incontournable. À l’aéroport Schiphol, il suffit d’emprunter un escalier mécanique pour descendre à la gare et prendre le train pour le centre d’Amsterdam. Le trajet d’une quinzaine de minutes coûte un peu plus de 5 euros l’aller simple. > Consultez le site de GetYourGuide Chicago PHOTO ALYSSA SCHUKAR, ARCHIVES THE NEW YORK TIMES Chicago est reconnu pour sa fabuleuse architecture urbaine. Une belle façon de l’apprécier est de se payer une petite croisière guidée, un périple de 75 minutes qui peut coûter autour de 60 $ CAN. L’aéroport international O’Hare est une importante plaque tournante, notamment pour les transporteurs American Airlines et United. C’est aussi une ville reconnue pour sa fabuleuse architecture urbaine. Une belle façon de l’apprécier est de se payer une petite croisière guidée, un périple de 75 minutes qui peut coûter autour de 60 $ CAN. À partir de l’aéroport, il est très facile de se rendre au centre-ville de Chicago en empruntant le train de la ligne bleue du métro. À la station Grand, il suffit de faire une petite marche d’une quinzaine de minutes pour atteindre le quai de départ de la croisière. Atlanta PHOTO DAVID GOLDMAN, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS Un dauphin du Georgia Aquarium d’Atlanta L’aéroport international Harstfield Jackson d’Atlanta est une importante plaque tournante pour Delta Air Lines. Une escale de quelques heures permet notamment d’aller visiter le très réputé Georgia Aquarium d’Atlanta. On peut y voir des milliers de poissons, mais aussi des bélugas, des dauphins, des otaries, des loutres et des manchots. À partir de l’aéroport, il suffit de monter à bord du métro MARTA et de cheminer une vingtaine de minutes jusqu’à la station Peechtree Center. L’aquarium est à 10 minutes de marche. Le tarif est de 2,50 $ US l’aller simple pour le métro. > Consultez le site du Georgia Aquarium en anglais Vancouver PHOTO GETTY IMAGES Le parc Stanley, à Vancouver Il arrive souvent qu’un itinéraire vers l’Asie comprenne une escale de plusieurs heures à Vancouver. C’est l’occasion d’aller prendre une grande bouffée d’air au parc Stanley, ou encore d’aller visiter le quartier historique de Gastown ou le quartier chinois, un des plus gros en Amérique du Nord. Un train rapide, Canada Line, permet de relier l’aéroport au centre-ville de Vancouver en moins de 30 minutes. Plusieurs attractions se trouvent à distance de marche. On peut se procurer une carte de 15,50 $ pour pouvoir emprunter le système de transports en commun de Vancouver pendant une journée entière.

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Procédure pour entrer aux États-Unis Depuis les attentats qui ont frappés les États-Unis en Septembre 2001, les conditions pour entrer sur le sol américain ont été durcies et les contrôles renforcés. Cette page vous présente tout le processus que vous aurez à suivre pour entrer aux USA, de votre aéroport de départ jusqu'à votre destination finale sur le territoire américain. Procédure et contrôles pour entrer aux USA À l'aéroport de départ À l'aéroport de départ, vous aurez un nombre important de contrôles de sécurité et d'identité à passer, ainsi que quelques formalités à réaliser. Enregistrement À votre arrivée à l'aéroport, dirigez-vous au guichet d'enregistrement de votre compagnie aérienne. Suivant les compagnies, il vous est parfois possible de vous pré-enregistrer en ligne, ce qui permet de gagner un peu de temps. Mais il faut quand-même aller au guichet files d'attente dédiées pour finaliser le processus. Profitez de l'attente pour préparer votre passeport et le mail/voucher de confirmation de réservation que vous avez reçu, ainsi que pour vérifier la taille de vos bagages en cabine des gabarits sont généralement mis à disposition pour tester la taille de vos valises. Au guichet, le personnel de la compagnie va vérifier votre réservation et votre identité, si votre ESTA a été approuvé ou le cas échéant, la validité de votre visa, et si tout est OK, vous enregistrer sur le vol et éditer vos billets d'avion. Il va aussi prendre en charge vos bagages qui seront placés en soute. Ils seront étiquettés pour rejoindre votre destination finale, même si vous avez une ou plusieurs correspondances. Dirigez-vous ensuite vers la porte d'embarquement indiquée sur vos billets d'avion. Contrôles de sécurité Pour entrer dans la zone d'embarquement, vous avez droit à 2 contrôles dont l'ordre peut être inversé suivant les aéroports un contrôle de votre identité, un contrôle de sécurité. Contrôle de votre identité Un policier ou un agent d'État va vérifier votre passeport et votre billet d'avion, afin de s'assurer de votre identité et que vous avez le droit de quitter le territoire. Contrôles de sécurité Lors de ces contrôles de sécurité, vous devez déposer dans des corbeilles en plastique vos effets personnels bagages cabine, sacs à main, liquides, gels et aérosols de moins de 100 ml placés dans un sac plastique transparent fermé, objets métalliques clé, pièces de monnaie, montre, bracelet..., ceinture, veste, chapeau, bonnet, écharpe, foulard, chaussures, appareil photo, smartphone, tablette... Passez ensuite sous le portique de détection de métaux. Si cela sonne, un agent peut vous demander de retirer quelque chose de supplémentaire ou procéder à une palpation. En parralèle, vos effets personnels et bagages cabine sont scannés pour détecter tout objet suspect. En cas de doute, un agent peut vous demander d'ouvrir un bagage pour procéder à un contrôle plus poussé. Une fois que tout est OK, récupérez vos affaires et "rhabillez-vous". Puis dirigez-vous vers votre salle/terminal d'embarquement, où vous pourrez attendre tranquillement qu'on vous appelle pour embarquer dans l'avion. Contrôles à l'embarquement Avant d'entrer dans l'avion et de vous installer confortablement au fond de votre siège, prêt à passer de longues heures en vol, vous devrez passer 2 derniers contrôles lors de l'embarquement un contrôle d'identité, un interrogatoire et un contrôle des bagages cabine. Contrôle de votre identité À la porte d'embarquement, le personnel de la compagnie aérienne contrôlera votre carte d'embarquement et votre identité passeport, afin de s'assurer que vous êtes bien autorisé à embarquer dans l'avion. Interrogatoire et contrôle des bagages cabine Juste avant de pénétrer dans l'avion, un dernier contrôle, réalisé par des personnes formées à la détection de comportements suspects vous interrogera. Cet interrogatoire porte sur les raisons et motivations de votre voyage et ne dure que quelques minutes. Un ultime contrôle des bagages cabine est également possible. Les agents pourront vous demander de démarrer vos appareils électroniques ordinateur, tablette, smartphone, appareil photo... afin de s'assurer qu'ils fonctionnent. Entre le processus d'enregistrement qui dure plusieurs minutes par personne et les multiples contrôles de sécurité et d'identité, il peut vite se former des files d'attente interminables à un point ou un autre. Ne soyez pas trop juste dans votre timing n'arrivez pas 30 minutes avant le décollage de votre avion !. Pour un vol international, notamment à destination des États-Unis, les compagnies aériennes préconnisent généralement d'arriver à l'aéroport 3 à 4 heures avant l'heure prévue du vol. Entrée sur le territoire américain Le déroulement des formalités et contrôles de sécurité pour entrer sur le sol américain dépend du type de vol que vous avez pris vol direct ou avec une escale, et dans ce dernier cas, où se situe cette correspondance aux USA, au Canada, en Irlande.... Vol direct Voici le cas le plus simple vous avez pris un vol direct pour votre destination finale aux USA. Par exemples, Paris > Las Vegas, Barcelone > Miami ou Francfort > New York... À l'embarquement ou pendant le vol, le personnel de la compagnie aérienne vous donnera un formulaire de déclaration de douane 6059B, bleu disponible en français par personne. Profitez du vol pour compléter les informations demandées nom, prénom, date de naissance, n° de passeport, importation de denrées alimentaires, d'animaux, d'une grosse somme d'argent.... À votre arrivée à votre destination finale aux USA, passez devant un agent de contrôle de l'immigration. Il vérifiera votre passeport, vous posera une série de questions*, prendra vos empreintes digitales des deux mains et une photographie numérique de votre visage. Si tout est en ordre, un coup de tampon sur le passeport, un sourire et bonnes vacances ! Récupérez ensuite vos bagages en soute sur les tapis roulants. Passez alors devant les douanes américaines auxquelles vous remettrez le formulaire bleu 6059B. Voir la page Bagages pour connaître les produits que l'on peut importer aux USA. C'est terminé ! Vous pouvez désormais profiter de vos vacances ! Vol avec une escale aux USA Ce cas est assez fréquent vous avez pris un vol avec une escale aux USA, avant de rejoindre votre destination finale aux USA. Par exemples, Paris > Philadelphie > Las Vegas, Barcelone > Miami > Los Angeles ou Francfort > New York > San Francisco... À l'embarquement du/pendant le premier vol, le personnel de la compagnie aérienne vous donnera un formulaire de déclaration de douane 6059B, bleu disponible en français par personne. Profitez du vol pour compléter les informations demandées nom, prénom, date de naissance, n° de passeport, importation de denrées alimentaires, d'animaux, d'une grosse somme d'argent.... À votre arrivée à votre escale aux USA, passez devant un agent de contrôle de l'immigration. Il vérifiera votre passeport, vous posera une série de questions*, prendra vos empreintes digitales des deux mains et une photographie numérique de votre visage. Si tout est en ordre, un coup de tampon sur le passeport, un sourire et bonnes vacances ! Récupérez ensuite vos bagages en soute sur les tapis roulants. Passez alors devant les douanes américaines auxquelles vous remettrez le formulaire bleu 6059B. Voir la page Bagages pour connaître les produits que l'on peut importer aux USA. Déposez ensuite vos bagages en soute sur les tapis roulants "connecting flights" pour qu'ils vous suivent jusqu'à votre destination finale. Dans certains cas, vous aurez à passer un nouveau contrôle de sécurité portique, scan de vos effets personnels.... Rejoignez votre terminal d'embarquement pour prendre votre deuxième vol. À votre arrivée à votre destination finale, aucun contrôle à passer. Récupérez vos bagages en soute et c'est tout ! Vous pouvez désormais profiter de vos vacances ! Vol avec une escale au Canada ou en Irlande Vous rencontrerez ce cas si vous avez un vol pour les USA avec une escale en Irlande ou au Canada. Par exemples, Paris > Dublin > New York, Bruxelles > Toronto > Los Angeles ou Francfort > Ottawa > San Francisco... Afin de réduire les files d'attente lors des contrôles de sécurité dans les aéroports américains, l'administration américaine a passé des accords avec des aéroports canadiens et irlandais pour que ces contrôles se fassent lors de l'embarquement dans ces aéroports et non lors de l'entrée aux USA. Cette procédure concerne à l'heure actuelle une quinzaine d'aéroports dans le monde, mais ce nombre devrait augmenter dans les années à venir. Aéroports canadiens concernés Calgary International Airport YYC Edmonton International Airport YEG Halifax Stanfield International Airport YHZ Montreal Trudeau International Airport YUL Ottawa MacDonald-Cartier International Airport YOW Toronto Pearson International Airport YYZ Vancouver International Airport YVR Victoria International Airport YYJ Winnipeg International Airport YWG Aéroports irlandais concernés Dublin International Airport DUB Shannon Airport SNN Autres aéroports concernés Abu Dhabi International Airport AUH, Grand Bahama International Airport FPO, Lynden Pindling International Airport NAS, Wade International Airport BDA et Aruba International Airport AUA. Voici la procédure à suivre qui ressemble plus ou moins à celle avec une escale aux États-Unis À votre arrivée à l'aéroport d'escale, dirigez-vous vers la zone de Preclearance Customs and Border Protection. Complétez un formulaire de déclaration de douane 6059B, bleu disponible en français par personne, avec les informations demandées nom, prénom, date de naissance, n° de passeport, importation de denrées alimentaires, d'animaux, d'une grosse somme d'argent.... Passez devant un agent de contrôle de l'immigration et des douanes. Il vérifiera votre passeport, vous posera une série de questions*, prendra vos empreintes digitales des deux mains et une photographie numérique de votre vous montrera aussi une photo de vos bagages sur un écran et vous demandera si ce sont bien les aussi le formulaire bleu 6059B. Voir la page Bagages pour connaître les produits que l'on peut importer aux tout est en ordre, un coup de tampon sur le passeport, un sourire et bonnes vacances ! Dans certains cas, vous aurez à passer un nouveau contrôle de sécurité portique, scan de vos effets personnels.... Rejoignez votre terminal d'embarquement pour prendre votre deuxième vol. À votre arrivée à votre destination finale, aucun contrôle à passer. Récupérez vos bagages en soute et c'est tout ! Vous pouvez désormais profiter de vos vacances ! Vol avec une escale autre qu'au Canada ou qu'en Irlande Ce cas est assez fréquent vous avez pris un vol avec une escale en Europe hors Irlande, avant de rejoindre votre destination finale aux USA. Cela arrive souvent si vous partez d'un aéroport de province. Par exemples, Toulouse > Londres > Las Vegas, Turin > Amsterdam > New York ou Lyon > Madrid > Miami... À votre arrivée à votre escale, dirigez-vous vers le terminal pour prendre votre deuxième vol. Ne vous occupez pas de vos bagages en soute, ils suivront automatiquement s'ils ont été enregistrés jusqu'à votre destination finale. À l'embarquement du/pendant le deuxième vol, le personnel de la compagnie aérienne vous donnera un formulaire de déclaration de douane 6059B, bleu disponible en français par personne. Profitez du vol pour compléter les informations demandées nom, prénom, date de naissance, n° de passeport, importation de denrées alimentaires, d'animaux, d'une grosse somme d'argent.... À votre arrivée à votre destination finale aux USA, passez devant un agent de contrôle de l'immigration. Il vérifiera votre passeport, vous posera une série de questions*, prendra vos empreintes digitales des deux mains et une photographie numérique de votre visage. Si tout est en ordre, un coup de tampon sur le passeport, un sourire et bonnes vacances ! Récupérez ensuite vos bagages en soute sur les tapis roulants. Passez alors devant les douanes américaines auxquelles vous remettrez le formulaire bleu 6059B. Voir la page Bagages pour connaître les produits que l'on peut importer aux USA. Vous pouvez désormais profiter de vos vacances ! * Concernant le passage de l'immigration, surtout, ne plaisantez pas trop avec les autorités lors de ces contrôles, ils prennent les questions de sécurité très au sérieux... Répondez simplement et calmement. Voici des exemples de questions qui pourront vous être posées How many times have you ever visited the United States ? Combien de fois êtes-vous venu aux USA ? What is your final destination ? Quelle est votre destination finale ? How long will you be staying in the ? Combien de temps allez-vous rester aux USA ? What is the purpose of your visit ? Quel est l'objet de votre voyage ? Tourisme, affaires, visite de la famille... Where will you be staying ? Où allez-vous résider ? Pour un road trip,
Employépar les Nations unies, parti en mission au Niger, un habitant d’Edmonton vit bien malgré lui dans le terminal de l’aéroport d’Istanbul, en Turquie, sans possibilité d’en sortir
Règles du forum Merci de choisir un titre explicite et précis pour votre topic et surtout de bien respecter le sujet de départ ! DOMINIC22 Messages 110 Enregistré le 14 mars 2012, 0830 Sexe F Vous êtes Un couple Vous êtes randonneurs Intermédiaires Localisation Langueux BRETAGNE Sortir de l'aéroport pendant une escale de 10 H Bonjour, Nous avons acheté nos vols pour les USA. Départ le 24 mai de Paris-Orly à destination de Denver avec escale à Londres British Airways. Pour le retour, nous repartons de Denver à destination de Paris CDG avec une escale de 10 H à Miami British Airways en collaboration avec American Airlines. On se demande donc si nous aurons la possibilité de sortir de l'aéroport de Miami pendant cette escale de 10 H. Nous aimerions visiter un peu Miami Beach... Quelqu'un s'est-il déjà retrouvé dans cette situation ? polzay Messages 256 Enregistré le 21 sept. 2008, 1856 Sexe F Localisation Choisy le Roi Re Sortir de l'aéroport pendant une escale de 10 H Message par polzay » 15 janv. 2016, 1634 Bonjour, J'ai été deux fois dans cette situation escale à Chicago pendant 8h et escale à Toronto pendant 9h. Nous en avons profité pour visiter ces villes et les alentours....et donc de sortir de l'aéroport. Vous avez de la chance car l'aéroport Int. de Miami est en pleine ville.... environ 20-30min de Miami Beach selon la circulation... Vous avez donc largement le temps de vous balader et voir même de vous aventurer à Coral Gable ou dans Les Everglades....de profiter aussi de la plage prévoyez un maillot dans voter sac Nous avions laissé nos bagages à main dans une consigne de l'aéroport storage/baggage checkroom vous pouvez soit louer une voiture pour la journée prévoir coût parking ou voiturier ou prendre un taxi ou le Métrobus. gubic Messages 70 Enregistré le 19 avr. 2014, 1413 Sexe H Vous êtes Un couple Vous êtes randonneurs Débutants Re Sortir de l'aéroport pendant une escale de 10 H Message par gubic » 15 janv. 2016, 1703 Bonjour, Lors de mon voyage en Californie, j'ai eu une escale à Londres à l'aller je suis sorti de l'aeroport pour prendre l'air avant le vol transatlantique. Au retour nous avions une escale à JFK, nous y avons déposer nos bagage en consigne et avons pu aller à Manathan. Mais nous avions 16h d'esales. En en 10h Je pense tu a moyen de faire quelque choses mais oubli pas de prendre en compte les temps d'attente etc. temps de trajet, temps de passage à l’aéroport, circulation. Je volais aussi avec British et American . 303 366 221 374 185 418 425 341

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